
Un bruissement de cuir. Une lumière rouge tamisée. L’odeur mêlée de cire chaude et de bois ancien.
Ce n’est plus une simple Suite Masquée… c’est un donjon privé, dissimulé dans le cœur secret de Mailly.
Au centre de la pièce trône un grand lit rond, cerclé de quatre attaches discrètes. Un miroir sans fin couvre le mur. La scène est prête.
Sur une petite table, alignés avec soin :
Ce soir, pas de tendresse. Pas de hasard.
Ce soir, tu es soumis(e). Totalement.
🕘 21h00 – L’abandon
Le/la dominant(e) t’accueille debout, vêtu(e) de noir, masqué(e). Il/elle ne dit rien. Tu t’agenouilles immédiatement.
Tu retires un à un tes vêtements, les plies, les offres. Puis tu tends le cou. Le collier se referme avec un clic. La laisse suit.
Tu es conduit(e) lentement, à genoux, jusqu’au lit.
On te bande les yeux.
🕤 21h30 – Dressage du corps
Tu es allongé(e) sur le lit rond, bras et jambes écartés, attachés aux coins par des sangles de cuir. Immobile, vulnérable, offert(e).
Le/la dominant(e) commence par explorer ton corps avec un pinceau fin, en dessinant sur ta peau des trajectoires invisibles.
Puis viennent les tests :
Tu halètes, mais tu ne vois rien. Ton monde se résume au miroir, et au son de sa voix.
🕙 22h00 – Jeux de pouvoir
Le/la dominant(e) monte sur le lit, te chevauche, t’observe. Il/elle commande ta respiration.
Un plug est lentement introduit, accompagné d’une série de gifles rythmées sur les fesses. Le miroir reflète toute la scène : domination parfaite, précision des gestes, beauté brute de la soumission.
Tu es retourné(e), maintenu(e) sur le ventre. Les coups se font plus fermes. Un gémissement, un ordre :
« Demande. Tu n’as rien sans permission. »
Puis, un arrêt total. Le silence. L’attente. Le supplice du vide.
🕦 22h30 – Franchissement
Détaché(e), retourné(e), repositionné(e) à quatre pattes. Une sangle maintient tes hanches.
La pénétration commence, lente, millimétrée. Le rythme varie.
Chaque coup est suivi d’un ordre : « Dis que tu aimes. Dis que tu veux encore. »
Puis vient la montée : ton plaisir retenu, suspendu, soumis à sa voix.
Si tu désobéis… la cravache siffle.
🕛 23h00 – La délivrance
Tu es libéré(e) des attaches, mais pas du rôle. Le/la dominant(e) t’allonge sur lui/elle, te guide, te possède encore une fois. Cette fois, dans le regard. Dans l’accord.
Et enfin, dans un souffle partagé, il/elle dit :
« Tu peux jouir. »
Les bougies s’éteignent une à une. Le miroir renvoie maintenant deux silhouettes apaisées. Le silence est complet.
Tu es marqué(e), rougi(e), transformé(e).
Mais tu es aimé(e), aussi. Car dans cette chambre BDSM avec miroir, lit rond et accessoires de soumission, tu as trouvé bien plus qu’un jeu.
Tu as trouvé ton ombre. Et quelqu’un pour l’aimer.

